Une étude publiée dans Nature Medicine laisse entrevoir une solution à court terme au syndrome du sevrage à la morphine. En effet, les auteurs de cette étude, dont font partie Yves De Koninck, professeur à la Faculté de médecine et chercheur à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec du CIUSSS de la Capitale-Nationale, et le postdoctorant Robert Bonin, ont élucidé le mécanisme physiologique qui cause les nombreux problèmes survenant chez les personnes qui cessent abruptement de prendre des opiacés. Coup de chance, deux médicaments déjà utilisés à d’autres fins agissent sur le même mécanisme. Leur efficacité contre le syndrome du sevrage pourrait donc être rapidement testée sur des patients, estime le professeur De Koninck.
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